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INTERDICTION DES VÉHICULES THERMIQUES EN 2035 :
N'INFLIGEZ PAS CETTE ABERRATION AUX EUROPÉENS !

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Mesdames, messieurs les députés européens,
Mesdames, messieurs les ministres européens de l’Écologie,

L’interdiction de la vente des voitures thermiques neuves en 2035, toujours en cours de discussion au Parlement puis au Conseil européen constitue une aberration dangereuse à bien des titres pour tous les Européens et les Français en particulier :

► Des pénuries d'électricité à venir


Des tensions d'approvisionnement en électricité menacent déjà.
Pour pallier, la France a même dû publier un décret autorisant la remise en service cet hiver de centrales à charbon… elles-mêmes très émettrices de CO2, venant encore réduire l'impact déjà très faible de la mesure !

Qu'en sera-t-il en 2035, lorsque des centaines de millions d'Européens rechargeront tous leur véhicule à la même heure le soir ?

Sans parler de l'insuffisance flagrante des infrastructures de recharge : la France en comptait moins de 54 000 fin 2021, là où 1 million serait nécessaire d'ici 2030.

► Des millions d'emplois en péril

Aujourd'hui, la filière automobile thermique est un fleuron de l'industrie européenne avec 12,6 millions d'emplois directs et indirects (activités de production, usage de l'automobile, infrastructures…) dont 2,2 millions rien qu'en France, soit 8 % de la population active occupée.

Des pans entiers de cette filière sont condamnés d'avance par ce passage à l'électrique à marche forcée, et vont de plus subir de plein fouet la concurrence d'autres pays déjà leaders du secteur comme la Chine, qui dispose d'une énorme avance et détient 77 % des capacités de production de batteries électriques.

Des millions d'Européens risquent ainsi de se retrouver sans emploi.

► Des déplacements limités par des voitures plus chères et moins performantes

Avec des véhicules électriques en moyenne 50 % plus chers que les thermiques, beaucoup d'Européens n'auront pas les moyens d'en acheter un, surtout avec une voiture thermique impossible à revendre.

De plus, hormis les modèles haut de gamme que très peu pourront acheter, l'autonomie de ces voitures est insuffisante, impliquant interruptions pour recharge tous les 100 à 150 km et temps de trajet considérablement rallongés.

De nombreux Européens se retrouveront donc contraints de réduire ou supprimer leurs trajets, pourtant créateurs de liens et de valeur marchande.

► Le tout, pour un gain environnemental infime voire nul

La mesure réduit seulement d'1,2 % les émissions mondiales de CO2. En effet, les voitures particulières en Europe engendrent 12 % des émissions de CO2 européennes, elles-mêmes représentant environ 10 % de ces émissions dans le monde.

Une vingtaine d’années étant nécessaire au parc pour se renouveler entièrement et une voiture électrique n’étant écologiquement plus “vertueuse” qu'un modèle thermique qu'au bout d'environ 5 ans d’utilisation, on peut donc estimer que cette mesure fera baisser les émissions de CO2 au niveau mondial de 1,2 % en… 2060 !

Cela signifie que chaque année, la réduction sera de… 0,048 % seulement des émissions !

C'est pourquoi, fermement opposé à cette mesure aberrante à tous niveaux, je vous demande instamment son report ou, a minima, l'introduction, dans le cadre du rapport d'avancement prévu fin 2025, d'une clause de réévaluation pour une éventuelle suspension.

Respectueusement,

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