Attendu
que le gouvernement prévoit, dans le cadre de la loi "Climat et
Résilience", d'interdire l'accès à toutes les agglomérations de plus de
150 000 habitants pour 43 % des voitures en circulation ;
Attendu
que cette mesure va priver près de la moitié de la population de sa
liberté de circuler, en l'empêchant de se rendre dans ces 45 vastes
zones pour y travailler, étudier, se soigner, faire ses achats, aller au
musée ou au restaurant, partir en week-end ou ne serait-ce qu'aller
voir des amis et de la famille ;
Attendu que ces zones de restriction constituent une hérésie écologique :
-
avec des vignettes Crit'Air qui, en se basant sur la date de
construction du véhicule, classent paradoxalement mieux un modèle récent
très émetteur de CO2 qu'un autre plus ancien mais émettant peu de CO2 ;
- en nous forçant à mettre au rebut des centaines de milliers de
voitures encore en parfait état de fonctionnement et en nous
contraignant à acheter des véhicules électriques à fort impact
écologique global (utilisation de métaux rares, fabrication à l'autre
bout du monde...) ;
Attendu que ce passage irréfléchi vers le tout-électrique :
- alors que le gouvernement lui-même veut réduire le nucléaire, va défigurer nos paysages avec des milliers et des milliers d'éoliennes ;
- met gravement en danger l'industrie automobile française, fleuron de notre économie dont les emplois directs et indirects représentent 8% de la population active ;
Je demande la mise en place d'un Moratoire sur ces zones de restriction massive de circulation, indispensable pour :
-
permettre le renouvellement naturel de parc automobile plutôt qu'une
mise à la casse forcée, et l'adaptation de l'industrie automobile
française plutôt que sa mort annoncée ;
- une réflexion globale et intelligente sur la réduction de la pollution, au lieu d'attaques focalisées sur la voiture ;
-
laisser le temps nécessaire à la mise en place de solutions efficaces
et au service de tous, comme des transports en commun plus pratiques,
plutôt que de priver arbitrairement du jour au lendemain la moitié des
Français de leur liberté de circuler et d'investir massivement dans des
caméras de vidéoverbalisation pour les traquer et les punir.
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